« La rencontre avec la modernité et l’introduction des langues parlées dans la liturgie a sans aucun doute soulevé de nombreux problèmes : de langages, de formes et de genres musicaux. Parfois a prévalu une certaine médiocrité, superficialité et banalité, au détriment de la beauté et de l’intensité des célébrations liturgiques. »Par contre, nous devons toujours garder en tête l’importance capitale de la participation de l’assemblée priante et communiante au Mystère célébré. C’est là, pourrait-on dire, que se trouve la fin primordiale de la musique sacrée. Ne cachant pas sa préférence pour son instrument, l’organiste qui œuvre à la basilique Notre-Dame depuis 1973, note néanmoins des similitudes plus que symboliques entre l’instrument à vent et le souffle de l’Esprit. Étant un moyen humain pour faciliter et élever l’âme vers Dieu, l’œuvre musicale et les instruments utilisés doivent être adaptés à ces deux réalités humaines et divines. En ce sens, l’œuvre de Grandmaison se veut une réponse à l’appel du pape François pour qui :
« L’Église est appelée à poursuivre […] à sauvegarder et à valoriser le patrimoine riche et multiforme hérité du passé » tout en étant « pleinement « inculturé » dans les langages artistiques et musicaux de l’actualité ».Rétablir l’unité entre passé et présent Les célébrations du 375e de la fondation de Montréal, sont une occasion rêvée non seulement d’assumer l’héritage de ceux qui nous ont précédés mais également de continuer leur œuvre d’une civilisation centrée sur l’Amour de Dieu et du prochain. Comment ne pas répondre à cette invitation à se remettre avec confiance dans Ses mains très saintes par la prière liturgique qui se déroulera le 17 mai prochain à la Basilique Notre-Dame de Montréal et où nous pourront nous laisser inspirer par ce Dieu qui continue de se révéler par l’entremise des talents des artistes qui s’y consacrent.
En ce mois de juillet, le Saint-Père nous invite à prier pour que nous apprenions à être toujours plus en mesure de discerner, pour choisir des chemins de vie et rejeter tout ce qui nous éloigne du Christ et de l’Évangile.
En ce mois de juin, le Pape nous invite à prier pour grandir dans la compassion aÌ l’eìgard du monde, pour que chacun d'entre nous trouve la consolation dans une relation personnelle avec Jésus et apprenne, à partir de son Cœur, à avoir de la compassion pour le monde.
« Le jour où […] le Seigneur Jésus-Christ, glorifié par son ascension au ciel après sa résurrection, a envoyé le Saint-Esprit, nous apparaît comme un jour heureux » (St Augustin, Discours 271, 1). Et aujourd’hui encore, ce qui s’est passé au Cénacle revit
Le pape Léon XIII est sur le point de redevenir un nom familier, maintenant que son dernier successeur a pris son nom. Une recherche rapide sur Google Trends révèle que le terme de recherche « Léon XIII » a atteint le sommet de sa popularité le 8 mai, jour de l'élection du pape Léon XIV.
Le pape Léon XIV ! La réalité pleine d'espérance d'un nouveau Souverain Pontife commence à s'installer. Plus je le vois, plus je l'entends parler (même dans sa langue maternelle, l'anglais !), et plus je lis son nom, plus cette nouvelle ère de la vie de l'Église me semble familière.