Ce documentaire vous emmène en plein coeur de Paris, à la rencontre de personnes en situation de précarité et de prostitution. L'association Aux captifs la libération les rejoint là où elles vivent, dans les rues, pour entendre leur cri, et les accompagner sur un chemin de réinsertion.

La Centrafrique est embourbée dans la violence depuis 2013. L’autorité de l’État est inexistante et le gouvernement impuissant. L’archevêque de Bangui refuse d’assister à la descente aux enfers de son peuple. À ses risques et périls, il livre un combat pour la paix dans un pays ravagé par la guerre.

L’abbé Claude Paradis, prêtre du diocèse de Montréal, vit son ministère dans la rue auprès des itinérants. Lui-même ancien sans-abri et consommateur de drogue, il s’est converti en dealer d’espoir pour apporter du réconfort au milieu de la misère. 

A 80 km de Phnom Penh, le Village de la Paix accueille des familles touchées par le virus du Sida, ainsi que des enfants handicapés. Chaque famille reçoit de l'Église locale une maison et un hectare de terrain pour devenir entièrement autonome et intégrée à la société.

Dans la région amazonienne nous rencontrons des jeunes filles en situation de prostitution, et d’autres abandonnées par leur compagnon alors qu’elles attendent un bébé. Pour les tirer de cette misère, un diocèse du Brésil lance des projets pour que ces jeunes filles retrouvent leur dignité.

A Manille des familles pauvres trouvent refuge dans des bidonvilles, alors que des enfants seuls vivent sur les trottoirs confrontés à la drogue et à la prostitution. La Fondation Anak-Tnk  intervient jour et nuit auprès de ces enfants, «pour remettre leur petit cœur en marche».

Dans les montagnes au nord-ouest de la Thaïlande, nous rencontrons le peuple Karen évangélisé il y a 50 ans. Aujourd’hui, cette minorité ethnique tente de transmettre la foi chrétienne dans un pays où le bouddhisme est majoritaire ; et cherche à conserver sa culture, menacée par la mondialisation.

En périphérie de Santiago du Chili, La Pincoya est un des quartiers les plus dangereux et les plus pauvres du pays. Dans ce bidonville, marqué par la violence et les trafics de drogue, l’œuvre Misericordia offre une présence aimante et active auprès des plus démunis.