Lors d'une récente visite à la CoCathédrale Saint-Antoine de Padoue à Longueuil, mes pas m'ont guidé vers une petite chapelle discrète, dans le transept droit baignée d'une lumière tamisée et imprégnée d'une aura de sérénité. C'est là que j'ai fait la rencontre d'une figure spirituelle remarquable, dont la vie et l'héritage continuent de rayonner à travers les âges : la bienheureuse Marie-Rose Durocher.
Mercredi, le 24 janvier et selon l’agence officielle Vatican news, le pape François venait d’autoriser « la promulgation du décret reconnaissant un miracle ». Il a approuvé une liste de décrets,
Giuseppina Vannini est née Giuditta Vannini en 1859 à Rome et est devenue orpheline à l'âge de sept ans. Bien qu'elle ait discernée une vocation à la vie religieuse, elle ne savait pas à quel endroit elle appartenait au début. Ensemble avec le P. Luigi (Louis) Tezza, en 1895, elle fonda les Filles de Saint-Camille, une congrégation religieuse composée exclusivement de femmes et dédiée aux soins des malades. Malgré quelques difficultés, la congrégation grandit d'abord en Italie, puis en France, en Argentine et en Belgique, avant d'obtenir l'approbation officielle ecclésiastique en 1909. Mère Giuseppina décède en 1911 à l'âge de 51 ans.
Le 13 octobre 2019, lors d’une messe, place Saint-Pierre, le pape François canonisera la bienheureuse Dulce Lopes Pontes: « Mère des pauvres » et le « Bon ange de Bahia », ainsi que quatre autres nouveaux saints: John Henry Newman, Giuseppina Vannini, Marguerite Bays, and Mariam Thresia Mankidiyan. Regardez la messe de canonisation et, apprenez-en davantage sur ces nouveaux saints de l’Église.
La contribution de l’Église à l’éducation des membres de la société est bien documentée. L’éducation fut, pendant de nombreuses années, un des principaux champs de travail des religieuses et des religieux au Canada. C’est de l’importance de l’éducation dans la mission de l’Église que témoigne la vie de mère Marie-Léonie Paradis, fondatrice de l’Institut des […]