Elle n’était pas en mesure d’aller à l’université, ni de fréquenter des organisations scolaires. Elle est morte jeune et aujourd’hui, elle sera honorée comme Docteur, une éminente reconnaissance qui l’élèvera dans la considération de toute la communauté chrétienne, aussi bien qu’un titre académique aurait pu le faire. Dans une culture rationnelle, trop souvent marquée par les biens matériels, elle suggérait, avec la simplicité désarmante du petit chemin qui retrace les bases essentielles, en lien avec le secret de chaque existence : la Divine charité qui entoure et s’incarne dans chaque vie humaine…Alors, pourquoi avons nous besoin d’un autre Docteur de l’Église? Nous avons besoin de Thérèse, docteure de la miséricorde de Dieu, parce qu’elle a vécu dans un monde similaire à celui dans lequel nous vivons maintenant. Un monde scientifique et technologique, dans lequel un grand nombre de personnes ne croient pas en Dieu ou n’acceptent pas le message de Jésus, le Seigneur de l’Univers. Il y a une autre façon de considérer ce titre de Docteur. Ce n’est pas Thérèse qui en a besoin, mais nous. Le premier rôle du docteur est de soigner la personne malade, les délabrés et les blessés. Nous avons besoin d’être soignés par Thérèse et nous avons besoin de son petit chemin d’amour et de grâce. En la plaçant dans le rôle de Docteur de l’Église et en mettant sur ses épaules la robe du Docteur, l’Église nous appelle à nous asseoir aux pieds de cette étonnante jeune femme et à relire les pages de l’Évangile afin que nous soyons renouvelés par sa lumière et devenions le sel de la terre et la lumière du monde. Sainte Thérèse de Lisieux, la petite fleur, Docteur de l’Église, patronne de la JMJ 2002 à Toronto, guéris nous et pries pour nous, pendant que tu passes ton ciel a faire du bien sur la terre. Homélie de S.Exc. Mgr. Luigi Ventura, Nonce apostolique en France–Dimanche 10 juillet 2011
Dans le cadre du Jubilé 2025, et lors de l'audience générale de mercredi, le pape François a poursuivi le cycle de catéchèse sur « Jésus-Christ notre espérance ». Il a réfléchi au Magnificat, le chant de louange de la Vierge Marie après avoir été accueillie par sa cousine Élisabeth.
Lors de l'audience générale de mercredi, le pape François a poursuivi ce cycle de catéchèse sur « Jésus-Christ notre espérance », dans le cadre du Jubilé 2025. Réfléchissant à la vision donnée à saint Joseph dans l'Évangile de Matthieu, il a déclaré : « Il rêve du miracle que Dieu accomplit dans la vie de Marie, et aussi du miracle qu'il opère dans sa propre vie : assumer une paternité capable de garder, de protéger et de transmettre un héritage matériel et spirituel ».
Lors de l'audience générale de mercredi, le pape François a poursuivi ce cycle de catéchèse sur « Jésus-Christ notre espérance », dans le cadre du Jubilé 2025.
Dans sa catéchèse hebdomadaire, le pape François s'est penché sur les fruits de l'Esprit. En commençant par la joie, il a déclaré que « non seulement elle n'est pas soumise à l'usure inévitable du temps, mais elle se multiplie lorsqu'elle est partagée avec d'autres ! La vraie joie se partage avec les autres, elle se répand même ».
Dans sa catéchèse hebdomadaire, le pape François a rappelé comment l'Esprit Saint a donné à la Vierge Marie le pouvoir de devenir la Mère de Dieu. Il a déclaré que « Marie, en tant que premier disciple et figure de l'Église, est ... une lettre écrite avec l'Esprit du Dieu vivant », de sorte qu'elle peut être « la mère qui nous conduit par la main vers Jésus ».